Etats Généraux de la Bande Dessinée : Questionnaire des auteurs

Publié le mercredi 16 septembre 2015 par Hervé Beilvaire. Mis à jour le 16 septembre 2015 à 13h00.

Article précédent

Double récital pour Christian Binet

Article suivant

Alcoolique, le premier roman graphique de Monsieur Toussaint Louverture

Lancé lors du Festival d’Angoulême 2015, les états généraux de la bande dessinée font leur rentrée.

Si les cahiers de doléance sont en cours, les questionnaires n’étaient pas en route. C’est maintenant chose faite. Les auteurs (confirmés ou non) sont invités à répondre aux questions. Celles-ci s’orientent sur le parcours, la parution d’album, le quotidien social, l’interaction d’Internet. Extrêmement complet, les réponses données seront d’autant plus importantes. Vingt minutes sont nécessaires pour répondre correctement

Les questionnaires sont anonymes et l’enquête sera close le 15 novembre prochain.

Commentaires

Les commentaires anonymes sont autorisés.

Chaque commentaire est vérifié par la rédaction avant d'être publié.

Dans la même rubrique

Olivier Peru au clavier

Olivier Peru est un auteur complet. Il scénarise Zombies, Lancelot, Nosferatu, In Nomine, pour ne citer que ces quelques séries. Il illustre plusieurs couvertures pour les éditions Soleil et (…)

Drôles de Gaulois à Bobigny : Astérix mis à l’honneur

Tout le monde le sait, le village d’Astérix est situé sur la côte d’unrégion qui deviendra la Bretagne, mais lorsque René Goscinny et Albert Uderzo se lancent dans la création du plus célèbre des (…)

Foolstrip accueille Rahan en version numérique

Depuis aujourd’hui, la maison d’édition de bande dessinée en ligne Foolstrip accueille le Fils des Âges Farouches. Publiées gratuitement en ligne, les vingt premières planches du Mariage de Rahan (…)

Angoulême 2016 : Un Prix Couilles-au-cul pour distinguer un(e) auteur(e) culotté(e)

Cri du coeur ou coup de pub ? Alors que l’organisation du Festival d’Angoulême et l’hebdomadaire Charlie Hebdo ont finalement renoncé à remettre un prix dédié à la liberté d’expression, jugé "trop (…)