Guère de paix ou si peu...

Fin de l’été 2023, il fait trop chaud et c’est toujours la guerre en Ukraine. Vient l’automne, et, le 7 octobre, les terroristes du Hamas attaquent, violent, assassinent, enlèvent des centaines de civils en Israël. C’est ensuite un déluge de bombes, en riposte, à Gaza. L’hiver arrive, sans neige. On parle du roi Charles, de Kate, de Gérard Depardieu. Les agriculteurs sont en colère à Bruxelles et la campagne électorale commence en Belgique, mais c’est surtout la guerre en Ukraine et à Gaza.
Au printemps, Donald Trump est jugé. L’Eurovision et le Festival de Cannes peinent à nous distraire de ces guerres, en Ukraine et à Gaza. L’Euro de foot est attendu comme une récréation. En été, on vote et on revote en France. Aux États-Unis, Joe Biden jette l’éponge. Les Jeux olympiques de Paris, magnifiques, font oublier que c’est toujours la guerre en Ukraine et à Gaza... mais ils ne durent que deux semaines. Pendant toute l’année, guère de paix... ou si peu.