Série Fanzine carré (Un)

Fanzine carré (Un) Périodique

Périodique de type Fanzine qui comprend 7 numéros.

Les numéros de Fanzine carré (Un)

Les parutions sont classées par ordre croissant suivant leur numérotation, lorsqu'elle est connue. Les titres non numérotés, ou dont la numérotation est inconnue, sont en fin de liste.

Fanzine carré numéro C (Un)
Fanzine carré numéro C (Un)
Parution: 21 août 2013

Un cube de 9 cm d’arête dont chaque face est une couverture
999 livres qui se différencient les uns des autres par leurs impressions extérieures, composées de 99 dessins et de 6 glyphes qui s’associent et se dissocient selon un algorithme précis pour composer un ensemble de 999 livres uniques. À l’intérieur, un bloc de 900 pages de bande dessinée, subdivisé en tranches de 9 pages, qui rassemblent 90 récits d’auteurs et un affrontement narratif entre deux groupes d’auteurs. Une anthologie, une forme de délimitation très large et sans doute personnelle des champs à explorer pour la bande dessinée actuelle.

Fanzine carré (Un) numéro A
A - Fanzine carré (Un) numéro A
Parution: 20 janvier 2010
Fanzine carré (Un) numéro B1
B1 - Fanzine carré (Un) numéro B1
Parution: 26 septembre 2010
Fanzine carré (Un) numéro B2
B2 - Fanzine carré (Un) numéro B2
Parution: 14 novembre 2010

Le fanzine schizophrène, dans sa deuxième formule (numéro B) adopte le fonctionnement d’un mensuel et publie de longs récits à suivre sur quatre numéro ; B1, B2, B3, et B4, qui composeront sur quatre moi un massif numéro B. Les quatre auteurs invités, Abstien Gachet, Aude Barrio, Néoine Piffer et Yannis Macchia, ont la contrainte de faire chacun au minimum 10 pages par mois. Du point de vue factuel, cette seconde formule est l’occasion de re-explorer le mode de production ancestral du fanzine, avec sa couverture serigraphiée, ses pages photocopiées, et ses deux agrafes dans le plis
La couverture de ce numéro B2 est signée par Yannis Macchia, qui continue ici un « polar soi-disant autobiographique » entamé dans le numéro B1. On y retrouvera l’auteur ainsi que Barbie et Ruflackette, empêtrés dans de sombres histoires policières, et on en saura un peu plus sur la promesse faite au début du premier épisode ; « quoi qu’il en soit, on est assuré qu’il y aura des poursuites en bagnole, du whiskey, et des flingues »

Fanzine Carré (Un) B3
B3 - Fanzine Carré (Un) B3
Parution: 29 octobre 2010
Fanzine carré (Un) numéro B4
B4 - Fanzine carré (Un) numéro B4
Parution: 11 juin 2011

Suite et fin du numéro B du fanzine schizophrène qui change tout à chaque fois ! Les quatre auteurs invités, Abstien Gachet, Odo Barrio, Néoine Piffer et Yannis Macchia, ont été « contraints » de faire chacun au minimum 10 pages par mois, l’occasion de re-explorer le modèle ancestral du fanzine : couverture sérigraphiée, pages photocopiées, agrafes dans le pli
La couverture de ce numéro B4 est signée par Abstien Gachet qui termine pour l’occasion ce cycle de fanzine carré, dédié aux quatre auteurs qui demeurent les pierres angulaires du collectif Hécatombe à la fin de sa sixième année. Par l’utilisation du genre qu’est le récit de zombie apocalyptique, Abstien trouve une solution intelligente pour transposer en bande dessinée son univers intimiste et son obsession à dessiner les nerfs et les muscles qui jonchent le corps humain.

Fanzine carré (Un) numéro D
D - Fanzine carré (Un) numéro D
Parution: 26 juin 2014

Dédié à la bande dessinée abstraite, ce quatrième opus de la série Un fanzine carré doit d’une certaine manière son existence à Ibn Al Rabin. Le précurseur et théoricien de cette tendance souterraine, extrêmement riche en possibilités et encore largement sous-exploitée, réalise ici un récit de 20 pages sous contrainte. En utilisant comme seul matériel graphique le symbole de la bulle, il réalise un récit d’une grande densité sémantique. Ce qui se révèle à la lecture de ces pages est une histoire délicate, touchant à des archétypes profonds de relations humaines, dans lesquels forcément, on se reconnaîtra. Il est entouré de Thomas Perrodin et de Yannis La Macchia qui réalisent aussi deux récits de 20 pages chacun. L’abstraction est encore utilisée ici pour toucher à des sujets absolus : La construction des sociétés modernes, depuis l’apparition de la Cité, que Thomas Perrodin retranscrit dans une forme de narration par l’inventaire ; L’apparition, le développement puis le pourrissement des relations entre deux entités racontés par Yannis La Macchia.

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Caractéristiques
Les 7 numéros du périodique
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