Parce que le paradis n’existe pas

Le roman graphique ultime : 160 pages de BD suivies de leur version roman

À l’age où d’autres emmènent leurs enfants à l’école, Fabien, 36 ans, le chômage et la honte comme quotidien, est parti trouver refuge chez ses parents, au sein de sa campagne maternelle. Les souvenirs, les choses simples se remettent en place, et puis survient l’appel de la forêt. Les arbres de son enfance. Fabien entend comme hier des hurlements. Fabien court, tente de rattraper leur origine. Alex est là, couvert de ses peintures de guerre. Alex a 10 ans et Fabien retrouve lui aussi son corps d’enfant. Le temps de se ressaisir, Alex a déjà disparu et ses courbatures de 36 ans sont revenues. Fabien veut comprendre. Il a un nouveau but qui le mènera à découvrir bien plus qu’il ne croit. Un chemin initiatique qui projettera ses sentiments, son présent son passé sur un fil fantomatique.