Mac Coy Intégrales et compilations

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des confédérés quand il est fait prisonnier par les nordistes. À la fin de la guerre de Sécession, il est réhabilité et, en raison de son courage, est nommé sergent-major à Fort Apache. Là, il retrouve son vieux copain Charley. Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage tout en nuances. Il fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglément aux ordres, sa technique, c’est de siroter une bonne bouteille, au calme, avant d’entamer le dialogue... C’est dans le mensuel Lucky Luke que sont publiées pour la première fois (1974) les aventures de Mac Coy ; elles paraîtront ensuite dans Tintin, Pilote et Charlie Mensuel.

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, est nommé sergent-major à fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais reste fondamentalement une tête brûlée ! Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est apparu dans le mensuel LUCKY LUKE (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL, permettant à de nombreux lecteurs de découvrir cette série.

Ce troisième volume des aventures d’Alexis Mac Coy reprend les épisodes suivants : Fiesta à Durango Camerone L’Outlaw Les Collines de la peur Le Désert des fous Ce western flamboyant, créé en 1974 dans Le Journal de Lucky Luke, rencontre une seconde vie en France et dans plusieurs pays.

Suite et fin des intégrales "Mac Coy" avec ce quatrième tome qui regroupe "Le Fantôme de l’Espagnol", "Terreur Apache", "La Malle aux Sortilèges", "La Lettre de Hualco", "Lointaine Patrouille" et "Sur la piste de Miss Kate". Le sémillant sergent-major Mac Coy continue de vivre des aventures palpitantes dans ce western flamboyant et truculent sous la plume alerte de Jean-Pierre Gourmelen et le pinceau virtuose d’Antonio Palacios.