Hey ! Périodique

La Revue d’Art Hey ! Retourne à la Halle Saint Pierre pour une 3e Exposition, de Septembre 2015 à Mars 2016. au Programme de l’Exposition et de son Catalogue, 68 Artistes Internationaux, dont les Deux Tiers n’ont Jamais Exposés en France. Hey ! à la Halle Saint Pierre, ce Sont Quelques 85 000 Visiteurs en 2013. Construites sans Rejeter le Classique, sans Dénigrer le Reconnu, sans Prohiber l’Inconnu, les Expositions Hey ! Bousculent les Conventions.

« HEY ! est le cabinet des curiosités du XXIe siècle », France Culture / La matinale (mars 2011). Hier, la revue séduisait des niches d’amateurs avertis. Puis, ce fut au tour d’une population jeune en phase avec son temps. Aujourd’hui, elle convainc jusqu’à l’intelligentsia des médias et du marché de l’art
HEY ! est donc en passe de devenir un relais inédit mettant en relation les artistes modernes et pop avec des publics qui d’habitude ne se rencontrent pas. Ce n°7 est encore sur cette brèche, mettant cette fois-ci l’accent sur la BD. Il réunit dans son sommaire Winschluss pour la création exclusive d’un cahier de 16 pages, Stan & Vince, des travaux inédits de l’américain culte Gary Panter, et des inédits du finlandais Matti Hagelberg. Le tout sans que le reste des pages oublie de faire le lien entre cet art populaire et la peinture, la sculpture...

Dans ce huitième numéro, HEY ! prend encore une fois les devants en affichant des travaux aussi ludiques que fascinants : la plus grande peintre japonaise directement inspirée par l’animation niponne, Yoko d’Holbachie ; l’américaine Marie Clayton qui met la poupée Barbie au coeur de sa création photographique... Vous découvrirez également comme toujours ses goodies intérieurs qui défient le piratage (16 pages de comics, des stickers inédits, un carton à découper)... car HEY ! reste encore et toujours un objet à collectionner !

Street art, illustration, peinture, graffiti : la revue Hey ! défend dans ses pages ce qui doit être salué comme l’art contemporain du XXIe siècle. Véritable source d’information graphique et d’inspiration, elle s’adresse aux artistes comme aux curieux
Au programme de ce numéro 9, de nouvelles rencontres avec des artistes de tous les univers comme Jon Langford, Mu Pan ou encore Todd Schorr, peintre majeur de la première génération de surréalisme pop ! Obtenez en contenu bonus : des stickers Ferris Plock, un carton à découper Sungyea Park et un livret d’illustrations de Eudes Menichetti
Une revue plébiscitée par Le Monde, France Culture, Libération ou encore Télérama.

Le lowbrow art, mouvement d’art pictural apparu en Californie à la fin des années 70, puise sa source dans les cultures populaires et alternatives des années 50/60/70 et rompt avec les courants conceptuels et intellectuels dominants. Cultivant la mélancolie, le ton de l’humour parfois sarcastique, les artistes du lowbrow art se réapproprient l’iconographie et les codes issus des médias populaires tels que les comics, la publicité, le graffiti, le dessin animé, et privilégient la figuration et son impact immédiat. Après Todd Schorr (cover HEY ! N° 9), HEY ! N° 10 a l’honneur de présenter d’autres artistes incontournables de ce mouvement : Marion Peck et The Clayton Brothers.

Hier, l’art était balisé, catalogué, soigneusement rangé dans et par les sphères auxquelles il appartenait, en parcelles. L’abstraction, la conceptualisation, le renouveau de la figuration... Tout le monde y retrouvait ses petits. Et chacun gardait dans la bouche le goût qu’il s’était choisi. Aujourd’hui, l’époque transcrit à outrance, sans balise ni tabou, l’esprit poreux de ses artistes, jeunes ou reconnus, qui mixent l’art des grands maîtres et l’impertinence des subcultures
En dix numéros, HEY ! a démontré la vérité esthétique de cette lame de fond contemporaine. Sans rejeter le classique. Sans dénigrer le reconnu, MAIS sans prohiber l’inconnu, ET en privilégiant les regards critiques sur la société. Ce n°11 martèle son message : NOUS SOMMES L’ART CONTEMPORAIN DU TROISIÈME MILLÉNAIRE.

En septembre 2011, le musée de la Halle Saint Pierre (Paris) s’associait à la revue HEY ! Modern Art & Pop Culture pour présenter l’exposition éponyme qui, conçue comme un cabinet de curiosités du XXIe siècle, se voulait être une synthèse audacieuse et bouillonnante de la scène artistique alternative mondiale. Sur 6 mois, l’exposition avait attiré plus de 20 000 visiteurs
Aujourd’hui, avec HEY ! Modern Art & Pop Culture - Part II - la revue HEY ! désormais installée réussit à attirer plus de 30 000 visiteurs dès son troisième mois d’exposition (qui dure jusqu’à fin aout 2013). Des figures séditieuses du lowbrow art nourries de l’iconographie des médias populaires aux fantasmagories du pop surréalisme redécouvrant l’héritage des grandes traditions picturales, des activistes du street art au tatouage, des échappées individuelles et solitaires de l’art brut aux expressions raffinées et libertaires d’un « oeil à l’état sauvage ? », les marges artistiques sont largement présentées dans les pages de la revue
Conduite par Anne & Julien, cette ligne éditoriale unique en Europe garantit le succès toujours grandissant de HEY ! la revue, soutenue par les expositions et spectacles de HEY ! La Cie (notamment par le Louvre / Lens en 2013 et le musée du Quai Branly / Paris en 2014).

Au sommaire du numéro 18 de HEY ! : Shawn Barber, Freddy Corbin, Carlos Nine, Taxidermia, De Monstris, Kris Kuksi, et bien d’autres artistes encore ! Inclus : un carnet dédié aux illustrations d’Alex Ross (issues de Superman : cover to cover, et Mythology, l’art des comics), et un second carnet de Baladi & Mezzo : Lucrècia vs Danièle !

Faisant écho à l’exposition « Tatoueurs, Tatoués » qui se tient actuellement au Musée international du Quai Branly et dont le commissariat d’exposition est assuré par Anne & Julien, ce numéro 19 de la revue HEY ! rend hommage à la culture du tatouage, et propose en parallèle un panorama des arts actuels (dessin, peinture, sculpture, illustration) en lien avec l’iconographie du tatouage
Au sommaire de ce numéro : Lynn Akura, Deborah Simon, El Rana, Stefano Ricci, Martina Kubelk, Mike Davis, Alex Grey, et bien d’autres
Inclus : une jaquette imprimée recto-verso, un cahier dédié aux créations d’El Rana et un second cahier à L’Histoire de l’ours, de Stefano Ricci !

Ce numéro de votre revue HEY ! invite spécialement des artistes internationaux qui composent l’avenir des arts plastiques, à la frontière du surréalisme et de la pop culture : l’Argentin Gabriel Grun, l’Américain Greg Simkins, l’Italien Alessandro Gallo, la Néo-Zélandaise Maryrose Crook, la Canadienne Myriam Dion, le Chinois Howie Tsui, et bien d’autres ! Un véritable tour du monde des nouvelles tendances qui dessineront votre environnement sous peu.

Ce numéro présente des oeuvres internationales et invite à la réflexion sur le devenir de l’environnement, à travers une vision du monde où l’humain côtoie l’animal et le geste traditionnel le contemporain. Une variété d’univers et de signatures sous le signe du glamour.

Au sommaire de ce nouveau numéro, deux événements essentiels qui secouent actuellement le paysage artistique Le territoire asiatique comme centre névralgique artistique incontournable. Avec les oeuvres du Chinois Lian Yu-Pei, de l’Indonésien Nyoman Masriadi, et un focus consacré au courant japonais Heta-Uma, méconnu en Europe
L’énergie incomparable de ce courant pictural est présente chez des artistes historiques, comme Hanawa Kazuichi, Ebisu Yoshikazu ou encore Ishiba Daisuke, mais aussi avec une jeune génération qui poursuit le dessein de cette proposition iconoclaste - notamment Fukushi Chihiro, Nirotaka ou Hanawa Masayoshi
Laa revue présente également l’oeuvre, ainsi qu’une interview exclusive, du Japonais Tagami, ermite, outsider et véritable sensation de la dernière Outsider Art Fair de Paris. La redécouverte d’un art populaire, les « Diableries ». Ces scénettes humoristiques et politique, fabriquées en France à la fin du XIXème siècle, sont au carrefour de l’objet de curiosité, du grand artisanat et de l’objet scientifique - ils n’existent plus que sous la forme, à la fois ludique et extrêmement précise, de vues stéréoscopiques, dans la grande tradition de la photographie du XIXème siècle. Ce sujet sera l’occasion d’une interview exclusive de l’ancien guitariste du groupe Queen,également astrophysicien et deuxième collectionneur au monde de ces magnifiques pièces - confirmant l’incomparable magie et intemporalité de l’art populaire.

Tandis que sort le n°24, révélant son cortège de nouveaux talents, HEY ! est de retour à la Halle Saint Pierre jusqu’en mars 2016 pour le 3e acte d’une trilogie d’expositions qui a déjà séduit plus de 150 000 visiteurs. Parmi les 63 artistes présentés, les stars internationales Mark Ryden, Marion Peck, Thomas Woodruff, Don Ed Hardy...

La revue HEY !, fidèle à sa mission depuis 2010, fait entrer la scène contre-culturelle vivante et hétérogène de plein pied dans l’histoire de l’art contemporain.

Au sein de la revue HEY ! modern art & pop culture sont présentés les arts outsider, les lowbrow et highbrow, le folk art, la BD et l’ensemble des arts graphiques dérivés d’une culture de rue en tant qu’expressions majeures de notre temps, émanations issues de l’intelligence populaire
Soutenu par une passion des territoires affranchis de la norme, chacun de ses sommaires offre une alternative à la vision d’une culture unilatérale. Opérant un travail d’affinage, défendant plus d’une centaine d’artistes dans leurs pages chaque année, Anne & Julien y exercent un commissariat d’exposition permanent.

Ce n°27 confronte directement l’histoire de l’art dite classique aux différentes expressions artistiques actuelles de la contre-culture et de l’outsider pop. Un numéro construit autour d’une logique de clashs intellectuels et visuels qui ne laisseront aucun lecteur indemne.

En complément de l’exposition « Tatoueurs, tatoués » qui se déroule en ce moment au Musée du quai Branly et ce jusqu’en octobre 2015, HEY ! TATTOO fait, pour la première fois, un historique complet du tatouage depuis les premiers témoignages de son existence, au travers de toutes les cultures, jusqu’à aujourd’hui
Ce livre fait écho à l’intérêt grandissant porté à cet art - à la fois « objet » de fascination et marquage identitaire - dans nos sociétés contemporaines, en apportant une dimension historique minutieuse au travers de documents et analyses rares et précis.