Etrangleur (L’) Périodique

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Les numéros du périodique
Les parutions sont classées par ordre croissant suivant leur numérotation, lorsqu'elle est connue. Les titres non numérotés, ou dont la numérotation est inconnue, sont en début de liste.
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d’un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d’un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l’énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s’épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d’un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d’une femme blonde et nue... Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes... Le roman de Léo Malet Boulevard... ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l’esprit de la série et du personnage... sans s’interdire un zeste d’humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».
La publication annoncée pour le mois de mars est la première livraison du journal mensuel pré-publiant Monsieur Cauchemar : une publication de 16 pages proposant les premières planches du futur ouvrage, avec une « Une » inédite et divers éléments d’accompagnement rédactionnel et graphique.
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d’un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d’un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l’énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s’épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d’un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d’une femme blonde et nue... Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes... Le roman de Léo Malet Boulevard... ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l’esprit de la série et du personnage... sans s’interdire un zeste d’humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».
En prélude à la parution en album de la toute nouvelle aventure d’ADÈLE BLANC-SEC, Casterman propose un principe de pré-publication original, similaire au lancement du précédent album de Tardi, Le secret de l’étrangleur : une parution en feuilleton, en grand format noir et blanc. Diffusé dans le réseau des librairies à un prix modique (moins de 2 euros l’exemplaire), LE JOURNAL D’ADÈLE BLANC-SEC sera programmé à raison de 6 numéros (3 numéros pour chacun des 2 volumes de cette nouvelle aventure d’Adèle). Chaque numéro proposera quinze planches de bande dessinée, et fera l’objet d’un tirage unique. Cette formule de pré-publication, en amont de la commercialisation en album du Secret de l’étrangleur, avait été plébiscitée par les lecteurs de Tardi.
En cette fin de printemps, Nestor Burma et sa secrétaire Hélène Chatelain reçoivent la visite d’un diamantaire du 9e arrondissement, Omer Goldy, qui les envoie sur les traces d’un restaurant chinois de la rue de la Grange-Batelière et de son propriétaire, l’énigmatique Tchang-Pou. Le mystère s’épaissit lorsque Burma découvre sur place les cartes de visite d’un ancien lupanar de Shanghai où sévissaient des prostituées russes et, dans une armoire, ce qui ressemble fort au cadavre d’une femme blonde et nue... Mais tout bascule carrément lorsque le diamantaire, est retrouvé mort dans son bureau. Deux macchabées presque coup sur coup. Soupçonnant tout à la fois un chantage, une affaire de moeurs, un trafic de diamants et dieu sait encore quelles turpitudes, Nestor Burma intensifie ses recherches, qui le mettront bientôt sur la piste de la maison Natacha, une entreprise de lingerie de luxe tenue par deux immigrées russes... Le roman de Léo Malet Boulevard... ossements, vingt-deuxième titre de la série Nestor Burma, a initialement paru en 1957, Nicolas Barral, dessinateur nouveau venu dans cet univers, en livre une interprétation fidèle à l’esprit de la série et du personnage... sans s’interdire un zeste d’humour qui pimente agréablement cette nouvelle enquête du « détective qui met le mystère K.O. ».
Mars 1959. Nestor Burma a rendez-vous dans les beaux quartiers de l’ouest parisien. Mais quand il se présente au domicile de celle qui l’a appelé... c’est pour la retrouver morte, ainsi que son mari, un ingénieur. Double suicide, en apparence. Mais que valent les apparences, dans cet environnement plus que cossu en prise directe avec les réseaux de l’argent et du pouvoir ?
Après La nuit de Saint-Germain des Prés, déjà proposé par le tandem Tardi et Moynot en 2004, suivi un peu plus tard d’un deuxième album, Le soleil naît derrière le Louvre, voici donc une nouvelle adaptation à quatre mains d’une aventure de NESTOR BURMA, d’après l’un des romans de Léo Malet.
Comme précédemment avec d’autres albums issus de l’univers de Tardi, comme LE SECRET de l’étrangleur ou Putain de guerre !, cette histoire est prépubliée dans le réseau des librairies sous la forme de numéros du journal L’étrangleur - ici trois parutions successives, chacune d’une vingtaine de pages grand format. La prépublication est proposée en noir et blanc, mais l’album sera en couleur.
Cette publication est la quatrième livraison du journal mensuel pré-publiant L’Etrangleur : un journal de 16 pages proposant une nouvelle série de 14 planches du futur ouvrage, une véritable « Une » revenant sur l’actualité de l’époque, une rubrique cinéma de Michel Boujut, et un billet d’humeur de Dominique Grange en dernière page, le tout illustré des dessins inédits de Jacques Tardi.
Notes des internautes
- Périodique Etrangleur (L’)
- Numéros parus 14
- Scénario Jacques Tardi, Emmanuel Moynot, Léo Malet, Pierre Siniac
- Dessin Nicolas Barral, Jacques Tardi, Emmanuel Moynot
- Identifiant du périodique 2909
- Page mise à jour le 8 septembre 2022