Je n’ai besoin de personne

Fulbert et Odilon, nos deux acariens, ont bien du chagrin. Ils ont envie d’une belle moto, une Harley Parkinson, et personne ne veut leur prêter le moindre sou pour ça, ni le bureau de chômage, ni Georges le barman (l’ingrat !), ni le banquier, ni même leurs propres femmes ! Est-ce parce que les deux compères sont paresseux, portés sur la boisson et aussi gaffeurs qu’inconstants que personne ne souhaite leur faire confiance ? Euh... peut-être bien ouais... D’autant que nos parasites préférés vont avoir une foule d’autres problèmes à gérer, tous plus hilarants les uns que les autres !